Stop à la psychose
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Stop à la psychose
Déraison
A quel moment sera-t-il décent de faire appel à la raison quand il s’agit des accidents dans le transport aérien ? L’amplification par les haut-parleurs télévisés de tous les événements du monde rend difficile toute approche rationnelle des derniers crashes, alors qu’il faudrait un peu de sérénité, et d’autres “compétences” que celles qui s’expriment sous le coup des passions, pour tenter d’identifier les causes et d’y remédier.
Depuis que le transport aérien existe, il y a chaque jour ou presque sur la planète des avions qui vont au tapis. En général, cela se passe dans des pays exotiques et lointains et ne mérite même pas une “brève” dans la grande presse. Ce n’est un secret pour personne, en Afrique, en Amérique latine ou dans les républiques caucasiennes, la fréquence des incidents de vol explose les moyennes communément admises en Europe ou aux États-Unis.
Il faudrait autre chose que des incantations ou des dénonciations confuses – ”on nous dit rien, on nous cache tout !” – pour faire comprendre aux clients que les compagnies aériennes affrétées ou régulières, classiques ou low cost n’ont pas pour premier souci de faire des économies en mettant en danger la vie de leurs passagers et de leurs personnels de bord !
Mais dire aussi que connaître leur nom, labellisé en bleu ou non, ne sera jamais une assurance tous risques…
Patrick Lopez
A quel moment sera-t-il décent de faire appel à la raison quand il s’agit des accidents dans le transport aérien ? L’amplification par les haut-parleurs télévisés de tous les événements du monde rend difficile toute approche rationnelle des derniers crashes, alors qu’il faudrait un peu de sérénité, et d’autres “compétences” que celles qui s’expriment sous le coup des passions, pour tenter d’identifier les causes et d’y remédier.
Depuis que le transport aérien existe, il y a chaque jour ou presque sur la planète des avions qui vont au tapis. En général, cela se passe dans des pays exotiques et lointains et ne mérite même pas une “brève” dans la grande presse. Ce n’est un secret pour personne, en Afrique, en Amérique latine ou dans les républiques caucasiennes, la fréquence des incidents de vol explose les moyennes communément admises en Europe ou aux États-Unis.
Il faudrait autre chose que des incantations ou des dénonciations confuses – ”on nous dit rien, on nous cache tout !” – pour faire comprendre aux clients que les compagnies aériennes affrétées ou régulières, classiques ou low cost n’ont pas pour premier souci de faire des économies en mettant en danger la vie de leurs passagers et de leurs personnels de bord !
Mais dire aussi que connaître leur nom, labellisé en bleu ou non, ne sera jamais une assurance tous risques…
Patrick Lopez
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